Cette mesure repose sur 5 indicateurs :
- l’écart de rémunération entre les femmes et les hommes,
- l’écart de taux d’augmentations individuelles,
- l’écart de taux de promotions,
- le pourcentage de salariés ayant bénéficié d’une augmentation dans l’année de référence après leur retour de congé maternité ou congé parental,
- le nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 salariés ayant perçus les plus hautes rémunérations.
L’index atteint par la MAF est de 71 points sur 100.
L’objectif à atteindre est de 100 points avec un minimum à 75 points. Pour y parvenir, la MAF a décidé de se doter d’un plan d’action.
Si, sur la plupart des thèmes relatifs à l’égalité entre les femmes et les hommes, la MAF obtient en effet des résultats satisfaisants, un certain nombre de sujets font apparaitre des marges de progrès.
Parmi celles-ci,
- l’évolution de la rémunération des collaboratrices ayant été absentes en raison d’un congé maternité et / ou parental,
- l’accès des femmes aux fonctions de direction,
- la réalisation d’une analyse plus approfondie afin d’appréhender l’existence éventuelle d’écarts, non plus globalement, mais par métier et par poste.