Partenaire historique de la Fondation lancée en 2000 par Patrick Coulombel, la MAF a réaffirmé son engagement à ses côtés en 2021 grâce à l’opération « 1 vote pour 1 don » à l’occasion de son assemblée générale annuelle.
La MAF s’engage au profit de la Fondation Architectes de l’Urgence

La proximité entre les deux entités ne date pas d’hier comme le rappelle Patrick Coulombel : « lors de la création de la Fondation, en 2000, il nous semblait évident de contacter la MAF pour nous assurer que notre travail soit durablement profitable aux populations sinistrées. » 

20 ans plus tard, le partenariat s’est étoffé à l’occasion de l’Assemblée Générale annuelle, temps fort de la vie mutualiste. « Cette année, nous avons souhaité marquer davantage notre soutien aux équipes de la Fondation qui réalisent un travail compliqué sur des théâtres d’opération difficiles » explique Jean-Claude Martinez, Président de la MAF.

Soutenir en votant

Une volonté qui fit rapidement poindre une idée : associer un don de la MAF pour chaque vote à l’Assemblée Générale.

« Face à l’urgence, la solidarité permet de changer les choses. Nous développons des filières locales de reconstruction grâce auxquelles nous parvenons à reconstruire une maison en dur pour toute une famille à des coûts vraiment très bas. Au Pakistan cela revient à 700 euros. A Ica Pisco au Pérou, nous avons réparé des morceaux de villes en bâtissant des maisons à 1200 euros » explique l’architecte à l’origine de la Fondation.

Des budgets qui donnent un écho singulier aux sommes collectées à l’occasion de l’opération conduite par la MAF : 5 647 adhérents, soit 74% des votants ont accepté le principe d’un don de 3 euros ce qui a permis le versement de 16 941 euros.

Venu présenter le bilan de l’action de la Fondation, Patrick Coulombel est reparti avec la chèque remis par Jean-Claude Martinez, Président de la MAF et une promesse : inscrire le partenariat au programme de 2022.

 

En savoir plus

 

Sur le sujet, lire aussi Fondation des Architectes de l’urgence : « nous pratiquons l’architecture comme il y a 200 ans »